J’ai tardé car la tâche n’est pas simple. D’abord, je me répète mais je ne cherche pas à influencer qui que ce soit à ce propos et chacun doit cheminer à son rythme sur ses principes d’alimentation.
Je sais bien que je ne suis pas celle qui sait tout et qui agit toujours bien. Ainsi, pas de prétention du tout et sur le net, des gens savent et font bien mieux que moi.
Bien mieux que moi car, moi, je n’ai avancé que dans une demi-mesure sur un changement d’alimentation. Si vous aviez pu lire les livres cités dans mes articles précédents, vous sauriez qu’il y a énormément de choses à faire – ou à défaire en l’occurrence concernant l’alimentation moderne -.
Mais, je ne suis pas une extrémiste et j’ai cherché, plutôt que de changer radicalement les fondements de mon alimentation, à déjà l’améliorer autant que possible sans heurter le confort et les envies de ma petite famille. Pas questions donc de frustrer, ni moi, ni ceux que je nourris, le plaisir de manger prévaut sur tout.
C’est dans cet état d’esprit que, armée de ma prise de conscience et connaissance sur les méfaits de mon ancienne alimentation, j’ai cherché le meilleur compromis - pour l’instant - et maintenir une vie simple et sans prise de tête pour y arriver. Mouais, facile à dire ...
Alors, après plus d’un an de recherche de ce compromis, où en est mon alimentation ?
Pour résumer les épisodes précédents sur mon alimentation, j’ai pris conscience que mon système immunitaire était potentiellement perturbé par plusieurs facteurs liés à l’alimentation, au niveau de l’interface avec mon système digestif – que je ne considérait pas assez et que je bafouais continuellement -.
Le facteur le plus facile sur lequel agir, c’est : l’alimentation polluée.
Je suis certaine qu’on le sait tous et que je m’en doutais avant - et pourtant … - mais l’alimentation industrielle d’aujourd’hui s’est polluée de substances chimiques extrêmement nocives, voire toxiques, pour notre organisme.
Je n’ai jamais été une écolo et pourtant, moi aussi, je savais «avant», que la bouffe – plus d’autre mot pour la désigner – industrielle recelait énormément de substances chimiques aux effets nocifs plus ou moins avérés par les instances scientifiques officielles.
Je le savais mais j’en consommais. Pourquoi ? Peut être parce que j’ai grandi dans cette société de consommation qui porte aux nues des soit-disant progrès sur la nature des choses. Je ne me l’explique pas autrement. Je prenais l’adjonction de substances douteuses pour du progrès – probablement -.
Comme tout le monde, j’avais entendu des discours «écolos» sur la question mais j’imagine que ma conviction était trop ancrée pour entendre les prophéties de ces gens avec lesquels je ne me sentais aucune affinité. J’avais du mépris pour ces personnes que je trouve si courageuses aujourd’hui.
Pour m’en excuser, je veux leur rendre hommage – sans pour autant devenir l’une d’entre elles – car, par leurs actions et leurs messages, tant de fois méprisés, petit à petit, les consciences s’éveillent sans presque s’en rendre compte. Merci encore à ces Don Quichotte qui finiront par battre les moulins.
Je vous barbe avec ce genre de blablas, c’est normal, je comprends, j’étais comme ça «avant». Mais comme je vous l’ai dit, je ne suis pas «écolo», un peu «bobo» quand même – étant d'une classe moyenne et urbaine – mais jamais l’écologie ne s’impose à moi comme principe de vie.
Par contre, si l’écologie est compatible avec mes choix, pas de problèmes, je l’intègre et c’est ce qui se passe avec ma recherche d’une alimentation non - ou moins en tout cas - polluée.
J’arrête l’article ici avant d’aller plus loin et permettre aux gens que ça barbe – et encore une fois, je les comprends – de sauter la «leçon» du mieux manger.
À bientôt pour eux sur des articles qui les barberont moins et à très bientôt pour les autres !
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