Je suis me suis donc lancée dans le vaste chantier de vous décrire
dans quelles mesures, j’ai changé mes principes et choisi de me nourrir
aujourd’hui suite à mes réflexions et cheminements qui découlent du lien
que je soupçonne entre ma maladie et mon alimentation « d’avant ».
Dans l’article précédent - suite 1 -, je vous ai indiqué comment j’avais établi un compromis pour gérer l’aspect toxique de l’alimentation lié à sa pollution intrinsèque, qui épuise les défenses du corps. Une alimentation moins polluée en se fournissant de produits bio, sous le label AB pour sa praticité dans les rayons de mon/mes supermarchés.
Vous aurez définitivement compris que ma maladie, encore non handicapante, ne m’a poussé vers aucun choix extrême. Encore une fois, j’estime comme prioritaire de manger avec plaisir en recherchant le meilleur compromis pour ma santé. Les produits bio en sont un, de compromis.
Mais cela ne permet de traiter qu’un seul aspect des composantes nocives de mon alimentation « d’ avant ».