Article du 14/08/2012
: Alors que ce serait plutôt un loisir d'hiver ou des jours pluvieux,
voilà que M. Simplet et moi, nous adonnons en plein été et parfois, par
grosse chaleur, à notre passion pour les jeux vidéos.
Il est vrai
que nous avons trouvé à plusieurs reprises des jeux d'occasion ou très
peu chers auxquels nous voulions jouer depuis longtemps. Il y a eu les 2
Tomb raiders - TR8 et TR7 -, avec notre fils, l'excellent aussi Lego
Batman - oui, le n°1 sorti il y a quelques années - et il y a un jeu qui
nous intriguait depuis sa sortie : L.A. Noire.
Il faut savoir en
préalable que nous sommes relativement accrochés à la série des GTA -
série développée par Rockstar - sortis à l'époque sur PS2, depuis -
souvenons nous - l'excellent GTA Vice City - GTA n°2 -.
Nous avons
fait aussi sur PS2, GTA Liberty City - le premier, fait après le second
pour voir - et GTA San Andreas - GTA n°3 - et sur Xbox, les 3 épisodes
de GTA IV.
Tout ça pour expliquer le lien existant avec LA Noire puisque c'est Rockstar qui l'a aussi développé.
J'avoue
que nous ne savions pas vraiment la teneur du jeu, juste la certitude
que c'était un bon jeu sur les souvenirs des tests faits à sa sortie,
courant 2011.
Eh bien, c'est un jeu qui nous plait beaucoup, même on adore !
Pour
résumer grossièrement : un GTA en étant pour une fois un gentil, avec
des missions à la Phoenix Wright - jeu particulier de la DS avec un
système d’interrogatoires - le tout dans l'ambiance complète et sans
faute de l'époque fin des années quarante.
Extraordinaire de
baigner dans cette ambiance si particulière : conduire de vieilles
voitures, le style des personnes/personnages, l'architecture et les
meubles/objets, la musique, tout ... génial, c'est réussi !
Le
système d’enquête nous intéresse aussi beaucoup - même si ce n'est pas
évident - la recherche d'indices, les interrogatoires à mener assez
finement et en marge des enquêtes principales, les délits à gérer en
plus : cambriolages, suicidaires, arrestation par sommation ou placage,
tous assez différents et avec de l'action.
Mention spéciale aux
expressions faciales des personnages, sur lesquelles reposent les bonnes
orientations des interrogatoires - mais pas simple quand même -.
Bref, même en plein été, nous vivons au rythme et dans l'ambiance de ces années 40-50 avec beaucoup d'amusement grâce à ce jeu.
Et puis, il est conseillé de s'amuser ... même l'été !
Édit du 03/09/2012 : Rapidement, alors que nous sommes en plein milieu du jeu - un peu plus de la moitié des enquêtes - un point intermédiaire.
C'est
confirmé, nous sommes très accrochés à ce jeu et à son concept.
L’ambiance d'après guerre est incroyablement bien rendue et très juste -
M. Simplet a contrôlé certains détails comme la présence de" Hollywood
Land" sur la colline -. Le moindre objet , son aspect et sa place
semble étudié, la ville de l'époque - on se ballade librement dans une
grande partie de la ville reconstituée - , les voitures et les personnes
sont fidèlement reproduit et intégrés. Bravo !
Quant au jeu lui
même, nous aimons beaucoup être dans la peau de Cole Phelps, un premier
de la classe de l'armée et de la police - avec des parts d'ombre -.
Concernant le système d'enquête, oui, ça pourrait aller plus loin peut
être et il st parfois frustrant de louper un interrogatoire. oui
frustrant car la nuance est ténue surtout entre doute et mensonge.
Par
rapport au début du jeu, nous saisissons mieux la logique à avoir pour
faire parler les suspects mais ça n'est as évident et nus devrons
refaire l'ensemble des affaires pour aboutir à de meilleurs résultats.
Au moment où je vous parle, j'envisage sérieusement de les refaire en
entiers - le jeu offre cette possibilité sans recommencer de zéro - on
verra à la fin du jeu notre motivation.
Quant aux affaires, encore
bravo, les scénarios sont assez subtilement liés et on saisi au fur et à
mesure des enquêtes et des différentes brigade l'ampleur du scénario.
A
noter en annexe du scénario, les 40 délits de rue relativement variés
et il est vrai, relativement simples - quand on se prend une balle, on
récupère très vite, trop vite -, la recherche de toutes les voitures
-mouais elles se ressemblaient toutes à l'époque -, la recherche de
journaux - facile sur le chemin des enquêtes -, la recherche des
monuments - c'est joli, mais bon -, la recherche de 50 bobines - pas
trouvé une encore -, je crois que c’est tout ...
A suivre ...
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